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dc.contributor.author | Tyulenev, Sergey | es |
dc.date.accessioned | 2014-07-10T07:19:37Z | |
dc.date.available | 2014-07-10T07:19:37Z | |
dc.date.issued | 2010 | es |
dc.identifier.citation | TYULENEV, Sergey. “Is translation an autopoietic system?”. MonTI. Monografías de Traducción e Interpretación. N. 2 (2010). ISSN 1889-4178, pp. 345-371 | es |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/10550/37042 | |
dc.description.abstract | Translation is analyzed from the standpoint of its systemic properties. Translation is shown to have the capacity to observe itself and its difference from the environment. Observation being a major autopoietic factor, translation may be considered as an autopoietic system. Doubts about this hypothesis arise because of the peculiarities of communicative properties of translation. Translation plays the role of the mediating party in complex translation communication events and its communicative behavior is ‘defective’ in that translation does not act upon source messages because its communicative function is passing messages on to the target party. As a system, translation may be studied against the background of its environment and be compared with other social systems. It may also be viewed as a subsystem within larger social formations. Although, as a mediator by nature, translation thrives on structural couplings and interpenetrations with other systems, thereby manifesting its exceptional interactional openness, it nonetheless constitutes an operational closure with its own first- and second-order observations. | es |
dc.description.abstract | Dans cette article, la traduction est analysée du point de vue de ses propriétés systémiques. La traduction a la capacité de s’observer et d’observer sa différence par rapport à l’environnement. Etant donné que l’observation est un facteur autopoïétique majeur, la traduction peut donc être considérée comme un système autopoïétique. Les doutes concernant cette hypothèse peuvent être attribués aux particularités des propriétés communicatives de la traduction. La traduction joue le rôle de médiatrice, ou de partie médiatrice, dans une communication traductive aux manifestations complexes et son comportement communicatif est « défectueux » dans la mesure où elle n’agit pas sur les messages source, sa fonction communicative étant de faire passer les messages à la partie cible. En tant que système, la traduction peut être étudiée dans le cadre de son environnement et comparée à d’autres systèmes sociaux. Elle peut être également envisagée comme un sous-système à l’intérieur de formations sociales plus larges. Bien que la traduction, soit-elle médiatrice par nature, soit portée par des couplages structurels et des interpénétrations avec d’autres systèmes, manifestant de ce fait son exceptionnelle ouverture interactionnelle, elle constitue une fermeture opérationnelle face à ses propres observations de premier et second ordre. | es |
dc.language | eng | es |
dc.subject | Luhmann, Niklas | es |
dc.subject | Social systems theory | es |
dc.subject | Autopoiesis | es |
dc.subject | Sociology of translation | es |
dc.subject | Traducción e Interpretación | es |
dc.title | Is translation an autopoietic system? | es |
dc.type | journal article | es_ES |
dc.subject.unesco | UNESCO::CIENCIAS DE LAS ARTES Y LAS LETRAS | es |
dc.type.hasVersion | VoR | es_ES |
dc.rights.accessRights | open access | es_ES |